Quand j’écoute la musique dans ma voiture, j’éprouve comme si je suis dans un monde où la pelouse est d’un couleur vert plus vive. J'éprouve rarement ce sentiment-là quand je regarde un film, mais après que je regarde Amélie, je me sers de la même manière que quand je conduis avec mes fenêtres ouvrent et Zooey Deschanel chante dans la radio.
Sorti en 2001, Le fabuleux destin d’Amélie Poulain est une histoire franche et une montagne russe que prend le public dans les sentiments de solitude confortable et le désir pour l’amour.
L’histoire suivait Amélie, jouée par Audrey Tautou, une fille timide et naïve avec un passé dysfonctionnel qui habite dans un appartement à Paris. Elle travaille dans un café à Paris, et dans son temps de loisir, elle observe ses voisins. Mathieu Kassovitz joue Nino, un garçon bizarre qui est fasciné par les photomatons au Metro.
L’histoire commence à rouler quand Amélie trouve une boîte en étain cache dans son mur de salle de bains. La boîte contint des billes et d’autres jouets qui manifestement appartenaient à un garçon. Quand Amélie décide à retourner la boîte à l’ancien propriétaire, elle est forcée à devenir plus familière avec ses voisins. Ses amies imaginaires l’aident à casser sa vie abrite, et la confiance qu’elle acquiert l’aide à poursuivre son amour pour Nino.
La musique, la couleur et l’emploi d’éclairage apportent un monde ravissant et vivant— le monde irréel d’Amélie est presque accessible pour le public. Les couleurs vives surlignent avec les personnages aux personnalités vives. Les prises de vue semblent raconter l’histoire comme si la visionneuse voit la scène à travers les yeux d’Amélie. La musique ouvre doucement le public dans l’émotion de chaque scène.
Le film est assemblé admirablement. Réalisé par Jean-Pierre Jeunet, la cinématographie monte les émotions d’Amélie, quelquefois timide comme un enfant, et quelquefois urgent presque comme à manquer un train. Jeunet emploi les effets CGI à faire les personnages imaginaires dans la tête d’Amélie.
Jeunet a travaillé avec les films Délicatessen en 1991, La cité des enfants perdus en 1995 et Alien, la résurrection à Hollywood en 1997. Bien qu’Alien ait été un éché, Amélie prouve ses talents comme réalisateur. Guillaume Laurent et Jean-Pierre Jeunet a écrit le scenario.
Peut-être, Audrey Tautou est le meilleur plaisir dans ce film délicieux. Ses expressions du visage sont parfaites. Ses yeux vifs sont grisants et charment le public à l’histoire. Son jeu’ acteur me rappelle le jeu des acteurs de Natalie Portman dans le film américain, Garden State, sorti en 2004—elle est innocente, amusante, et excentrique. Nous sommes tous comme Amélie d’une certaine manière, et nous voulons être son amie.
L’histoire d’Amélie Poulain est à la fois divertissante et instructive. C’est un film qui encouragera tous les timides aux fonds.
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